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THE POET AS SCIENTIST

THE POET AS SCIENTIST, THE POET AS SCIENTIST

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The Geek's Raven
[An excerpt, with thanks to Marcus Bales]

Once upon a midnight dreary,
fingers cramped and vision bleary,
System manuals piled high and wasted paper on the floor,
Longing for the warmth of bedsheets,
Still I sat there, doing spreadsheets:
Having reached the bottom line,
I took a floppy from the drawer.
Typing with a steady hand, I then invoked the SAVE command
But got instead a reprimand: it read "Abort, Retry, Ignore".

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Form input - by Günter Born

Thursday, April 03, 2008

George Eliot et "Les Génocides Utiles"

Tout le monde sait les histoires de Hitler, de Pol Pot et de Rwanda: comment les gens étaient massacrés en leurs millions pour rien sauf, peut-être, le plaisir de la haine. On dit que ce sont des monstres. Mais, comment, pour tous ces gens qui étaient massacrés en leurs millions pour des "bonnes raisons" ?

C'est la bonne question, non ? Toutes ces guerres en lesquelles les puissants ont massacré les faibles, pour n'importe quelle raison: la terre, l'argent, le pouvoir. Dans toute l'histoire. Ne sont pas celles-ci les génocides, aussi ? Pourquoi pas ? On pense au Darinisme Social, à la survivance des mieux adaptés. Et, aussi, on pense à George Eliot, l'autrice de "The Mill on the Floss", "Le Moulin sur la rivière Floss".

Ce livre, "Le Moulin sur la rivière Floss", était écrit dans l'an même en lequel le grand livre de Darwin, "L'Origine des èspeces" était publié. Et aussi, un an devant une des plus grandes guerres de toute l'histoire jusqu'à ce point-ci, la grande Guerre Civile des États-Unis: effectivement, un génocide pour combattre un autre génocide. L'intrigue de ce livre est centré sur une famille gérante du Moulin, assez prospère au début, mais, parce qu'ils ne sont pas assez focalisé sur la poursuite d'argent, parce qu'ils sont trop aimables, trop intellectuels, et trop sensibles, ils deviennent progressivement plus misérables et pauvres au cours du livre.

Les critiques se plaignent de la fin du livre. Toute la famille se noient dans un grande déluge sur la rivière. Mais, quoi ça signifie, exactement ? Ce ne sont pas des mauvais gens, ils ne méritent pas cette anéantissement. Ce soit, peut-être, le Darwinisme Social ? Mais, en ce cas, on peut dire que les gens aimables, intellectuels et sensibles aient assez d'utilité dans la société, même s'ils ne gagnent pas d'argent.

Je crois que l'intention du George Eliot était de faire une satire du Darwinisme. De démontrer que la survivance des mieux adaptés ne s'applique pas très bien à la société humaine. Nous avons tous nos propres utilités pour la société, et, il faut pas anéantir les gens qui ne se conforment pas à nos propres idées de la perfection ou de la utilité. La seule raison pratique pour le génocide c'est de combattre le génocides plus grands: comme dans la Guerre Civile des États-Unis, comme dans la Seconde Guerre Mondiale. Faut pas tuer les gens seulement pour argent, pour la terre, pour le pouvoir.

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