La politique de l'après-vie

C'était les Hindus qui ont utilisé l'idée de l'après-vie primièrement, et avec le plus d'effet politique. En l'Hinduisme, toute la structure de la société, toute la structure politique soit fondé sur la base de la "réincarnation", une conception d'une après-vie cyclique en intéraction perpetuelle avec la vie matérielle, pour le but de perfectionner l'âme de chaque personne. Mais, pour les misérables qui soient avoir la mauvaise chance d'être nés pauvres, c'était, selon les règles de cette système, leur propre faute: c'était à cause de leurs péchés d'une vie antérieur. Et, si on soit riche, c'était aussi le résultat des bonnes actions dans les autres vies. Très convenable pour les riches ! Effectivement, tout désordre social serait une lutte contre l'ordre d'univers entier !

Pour le Christianisme, l'après-vie aurait eu, dans sa conception originale, un effet exactement l'envers de celui de l'Hinduisme: l'intention c'était de lutter contre le pouvoir énorme de l'Empire Romaine, avec les armes sociales et psychologiqes développés par les juifs pour lutter contre les grands empires de tous les côtés -- un Dieu tout-puissant, qui domine tous, qui règle tous. Mais, pour les juifs sous le joug de l'Empire Romain, le discipline d'un Dieu tout-puissant ne suffirait pas pour gagner: c'était bien nécessaire de postuler l'existence d'un tout autre monde, un monde dans lequel César ne puisse pas démander à ses légiones d'écraser toute opposition ! Et, avec cette propagande du génie, un monde au delà du pouvoir de César, c'était possible de convaincre bien des gens de battre contre, ou, au moins, d'ignorer César.

Dans la Chine, Confucius volut créer un état stable dans une période d'anarchie. Pour faire ca, la famille tenait une importance centrale. Toute la société serait réglée par la famille. Les petites familles serait une partie des familles plus grandes. Les gouverneurs des provinces serait comme des pères des grandes familles. Et, le Roi lui-même serait comme un bon père de famille, avec tous ses sujets comme des enfants. Bien sûr, quand le père ou la mère d'une famille mourut, il faudrait pas qu'ils cessassent d'exister totalement ! Ils avaient trop de pouvoir dans la société pour qu'ils disparaissent instantanément, et, aussi, ils puissent avoir de la utilité sociale même morts: faut les adorer comme des Dieux, faut adorer nos ancêtres pour qu'ils puissent règler la société encore ! Faut que nos ancêtres aient une après-vie pour que les choses ne changent pas trop.

Alors, naturellement, il y avaient des reactions religeuses contre les excés du passé. L'Islam était une religion du ce monde-ci, pas du monde à venir, une réponse claire au Christianisme. La seule fonction de l'après-vie dans l'Islam c'est de réinforcer le pouvoir de l'état: pour punir les malfaiseurs et récompenser ceux qui lutter contre les enémmis de l'Islam. Pour les Buddhistes, c'est peu clair si l'après-vie existe ou pas. Mais, si elle existe, c'est pour les buts des hommes, pas de la société !