Le Rabbi Isaac Rit
Eliyahu Mednek (1881-1904)
traduit de l'Hébreu par Jerome Rayond Kraus 2007
Uri, le huissier, un petit homme et avec les yeux boueux, en récitant le Midrash, a perdu son équilibre quand il allumit la chandelle en la minora du plafond en quittant la table. Il a approché en hâte les douze jeunes gens, tous vêtus en robes de Midrash, et, totalement épuisé, se sentant lourd et fatigué, il a indiqué le chandelle, disant,
"Le chandelle du Rabbi Isaac s'éteint par l'eau du pot."
Le huissier a pris le chandelle facilement, et bien averti du mal qui ait la femme de le Rabbi Isaac, il a entrepris d'allumer la lampe de la Mincha, sur la table. Et c'était bien evident à Pinchas, l'examinatuer, en priant , que l'aspect du Rabbi était faible et jaunétre en sa concentration, et comme il a passé devant le dos du Rabbi en allant vers l'est, au secteur de prière, il a demandé au huissier,
"Que fait-il ?"
"Rabbi Isaac prépare le cire," le huissier lui a répondu comme il préparait le quorum pour les prières pour le diner.
"Rabbi Isaac prépare le cire ?" a demandé après, l'examinateur étonné, "Ne soit pas Rabbi Isaac allé pour la lampe d'huile ?" il a demandé en secouant la tête au jeune homme.
"C'est son décision," a dit le jeune homme, montrant un peu d'embarras en son front.
Pour le moment, l'examinateur n'avait rien a dire, et il se tut.
En attendant, il a approché le petit groupe d'adorateurs.
"Quoi ? Comment peut le cire être mouillé par le pot ?" a demandé l'examinateur au jeune homme.
"Comment va ta tante ?" a demandé un autre.
"Elle travaille comme agent pour le docteur Mak," a répondu le jeune homme.
"Quand arrive-t-elle ?"
"Demain, à midi," a répondu le jeune homme, ne faisant pas attention au rumeur que c'était sa mère
qui a demandé au docteur Mak de donner le billet à sa tante.
Pinchas avait eu bien assez des réponses du huissier.
"C'est Rabbi Isaac qui, toujours, prépare le chandelle, mais c'est toi qui fait les prières, toujours, en sa place."
"Mais que voulez-vous," a répondu l'huissier, "c'est nécessaire pour que Dieu nous entende, qu'on allume la chandelle."
"Tous qu'il dit est sottise totale!" a réprouvé Pinchas, qui lui connaissait assez bien.
Le huissier a signalé sa soumission en hauchant les épaules au examinateur, en plein foule,"C'est seulement à Dieu de juger le monde." en citant le Talmud pour châtier le coeur méchant de l'examinateur.
Le huissier a parti de la Midrasha, le jeune homme s'était bien pressé aller chez sa mère avec toute la delegation. C'était sa mère qui était responsable pour la lampe et la cire pour le jour de Yom Kippur -- c'était bien connu que elle avait cette responsabilité pour Yom Kippur -- et elle avait mesuré la mèche dans la Maison des Âmes le matin; selon Halacha, le loi Juif, se prosternant devant les tombes de ses parents, les relatives de la femme du Rabbi Isaac, tout fait pour s'enricher les familles; elle a envoyé la blanche chandelle à la Midrasha en un pot d'eau, afin que tous seraient fait selon la règle.
Uri parlait ave Rabbi Isaac sur la matière de la cire. Peu de temps auparavant il y avait été un petit bagarre entre deux des femme mariées, on a commenté qu'il faudrait payer pour le deuil de la mère du médicin célèbre, et que ce coutume bien établi était en danger. Le deuil était très coûteux, donc il y avaient les mots durs avec Rabbi Isaac, l'argent étant si important pour notre peuple, et, finalment, il y avait été décidé de ne pas soumettre à l'avis de la femme plus âgée, et de ne pas avoir les deux jours de deuil normalement stipulé. Uri parlait pour un temps en colère avec le riche Pinchas devant l'entrée de l'Hadar, toutes les jeunes filles les regardant avec les yeux tout ouverts.
"Soirée bénie," dit le huissier aux gens venus pour Hadar, et tenant la lampe en ses mains, ainsi, immédiatement il s'est prosterné.
Le Rabbi Isaac s'est dressé en la lumière tenebreuse, et il a demandé en colère,"Qu'est-il ?"
"Quel est l'avantage, avoir l'examinateur impliqué en l'affaire de la chandelle ?" a demandé le huissier, se dressant et ajoutant "serait meilleur qu'on l'excuse," en regardant timidement le Rabbi Isaac pour voir s'il a bien compris ce qu'il a dit.
"Que fait-il en l'affaire de la Lampe ?" il a grondé en colère, "Qu'est-ce que le lépreux diable à faire avec tout ça ?" il a juré au huissier.
Le huissier s'est rétréci en arrière et s'est retiré du Hadar, retournant à son siège à l'avant de la Midrasha. Maintenant, il n'avait pas aucune idée quoi faire en la matière de la chandelle, et c'est ce qu'agacait le huissier le plus, c'est que si la chandelle n'ait pas s'éteint, tout aurait allée très bien. Le huissier, pour qui fallait une réponse de Rabbi Isaac, regardait autour de la Midrasha, et a crié a un Mizrahi:
"Voyons donc, qu'est-ce que le Rabbi Isaac va faire ?"
"Rabbi Isaac," n'était pas l'intention du huissier, à donner une sorte de lecture, mais la possibilité scintillait dans son esprit d'une sorte de vengence humoristique, en ajoutant l'observation:"Rabbi Isaac dit que ce soir la cire de la chandelle va aider, par sa lumière, guérir les malades."
Il y a bien de gens qui écoutaient les mots du huissier, démontrant d'intérêt en ces dêtails du loi juif. Mais bien d'entre eux qui composaient ce groupe ont montrée grande étonnement, le regardant avec stupéfaction, en asseyant ensemble au mur à l'est du batiment, pas loin du armoire avec les reliques sacrées, tourant la tête ver le Rabbi Isaac pour clarification, seulement l'examinateur restant au sol pour faire sa tâche de boucher. Le Rabbi lui-meme était totalement occupé avec la tâche d'épouillage, et pour cette raison n'a prêté aucune attention. Pinchas était très excité, et a repliqué à la menace du loi juif, ouvrant la bouche, et finalement criant au huissier "Tous seraient fait selon vos désires," comme il regardait le Rabbi, et a crié fortement en la direction des adorateurs.
L'huissier s'est controlé, comme il allait vers le passage pour qu'il ait d'eau pour le cruche de Talmud. Uri prenait soins de ne pas attendre aux regardes durs et hostiles des hommes de la congregation.
Ayant fini ses prières, l'huissier prenait le cruche pour aller vers le diner du soir à la fin du jeûne, et tout le monde se tut soudainement, parce qu'ils étaient flatté de sa arrivé tôt, ceux qui s'étaient resté en la Midrasha, et ils parlaient de cette évenement un peu étrange. Comme il passait devant leurs têtes, il a écouté un voix qui disait:
"Donc, il est venu pour manger le diner ici, pour allumer la chandelle, le Rabbi Isaac la placé en la minora, il est un professeur ici."
Uri commencait à sentir un peu de peur face à cette grande responsabilité qu'ils en parlaient, peu qu'il a admis que c'était seulement une blague. Mais il a perdu sa langue en voyant le front de Pinchas. Il partait du bâtiment, tous en ne disant pas un mot au huissier.
Pinchas n'était pas en la Midrasha pour la leçon du soir, en effet il n'y avait pas pratiquement personne, la colère du Rabbi Isaac n'ayant pas diminué et, en dépit de son respect pour lui, il n'y avait pas été invité. Il y avait un peu de juifs en la Midrasha, tous se chauffant au près du fourneau, quelques personnes en deuil et quelques jeunes, et la lampe se brillait à sa place, faisant les ombres au près du fourneau. Quand, finalement, Pinchas s'est levé le dernier matin, il s'est plaigné au Rabbi Isaac d'arrogance du huissier, mais le Rabbi Isaac avait déjà allumé la lampe, et il était absorbé en lisant le Talmud.
Le dernier matin, à l'aube, il faisait chaud pour les travailleurs en la Midrasha, les adorateurs pour les prières de la matin, des gens allant au marché, en particulier au près du fourneau -- et Pinchas a retrouvé le Rabbi Isaac lisant le Talmud et faisant ses charges. Le Minora n'était pas encore allumé, la cire était grumeleux, la salle était encrassé du puanteur de fumée. Pinchas se regardait autour de lui ,et , immédiatement se retournait au Talmud.
Uri n'approchait pas la Midrasha et ses vieux grisâtres, craignant d'être trop remarquable. Quand il approachait l'entrée il a écouté une femme dire en riant:
"'tzpra taba'! Soit ça dans le Torah?"
"'tzpra taba' !" a repliqué Pinchas, tournant sa tête pour la regarder, et disant:"Mais, vous en doutez ? Bien sur, c'est le cas."
L'huissier était bien d'accord avec cette opinion. Il faut qu'il restât à l'entrée en le soleil, maudisant l'impertinance du soleil.
Actuellement des gens devant Uri en le couloir riaient en leurs sieges en la Midrasaha, tous les bavardes et les pies. Ils vidaient et remplacaient les cruches, et après ils ont versé l'eau, ils arrangaient les livres sacrées en l'armoire. En fin, ils ont ouvré la Midrasha et ont commencé l'entrer, et il a regardé Pinchas, totalement absorbé en lisant le Torah. Uri était approchait avec difficulté le fourneau, et il s'asseyait là avec des gens, discutant les malades, et, en fin, le cantor s'asseyait là aussi, le regardant avec ridicule.
Les yeux du cantor en indiquait d'étonnement en écoutant l'huissier. Mais il ne riait pas à ce que Uri disait. Le cantor voulait rier, pour la vengence. Clairement, il n'y avait rien d'importance.
Comme ils écoutaient les mots d'huissier, l'excitation des auditers augmentait, et le front du cantor montrait son gros désire de rier, et aussi, l'attention du Pinchas était attiré à ces points du loi du Torah...
Soudainement, Pinchas ne le puisse tolérer encore, et il a crié:
"Uri!"
Uri était terrifié de l'attaque soudain de l'ancien, il a baissé ses yeux avec soumission au sol.
"C'est le cas que la femme du Rabbi Isaac soit malade ?" a demandé l'examinateur premièrement, avec d'importance.
"Oui, elle est malade." a répondu l'huissier, son voix tout bas.
"Dit à Rabbi Isaac que j'espère qu'elle va mieux," en un ton de commande, " et, aussi, que je vais le visiter à sa maison."
Uri a levé ses yeux à la place de l'examinateur.
"Que faites vous ici ?" a dit Pinchas avec étonnement, le regardant avec soupçon.
Battu, l'huissier a baissé sa tête, a tourné le dos vers Pinchas et a commencé à se retirer avec les pas lourds. Le petit groupe près du fourneau commencé a partir de la Midrasha en riant.
Les gens asseyant autour du fourneau regardaient Pinchas, et, mal à l'aise, ils avaient eu assez. Il s'est senti désolé pour l'huissier, mais avait eu assez de son comportement étrange de la soirée précédente.
Pinchas était déjà habillé dans son châle de prière bien seul, près à compter les adorateurs pour le quorum exigé -- l'huissier n'a pas encore retourné. On parlait de ce fait étrange. L'assemblé a prié pour "le bonheur", et ils ont vu que l'huissier n'était pas dans le couloir, mais qu'il avait parti en hâte; et Pinchas était bien content que l'huissier soit fait paraitre ridicule aux yeux des adorateurs pour ses idées bizarres , tout en améliorant sa propre position. Mais il se sentait un peu mal à l'aise.
Que fait-il? Il semble tout embarrassé.
Les prières finis, Pinchas avait été pressé pour partir de la Midrasha, et il était en colère. Il a flâné de nouveau à sa maison. Sa femme était en tête, et elle était tout intéressé en la femme du Rabbi Isaac. Hier soir il a garanti, que sa femme démontrait de grande piété le jour du Sabbat; sa garanti soit, que toute la boucherie pour le Sabbat, selon le loi Rabbinique et la Kabbala, doit être payer par la femme ! Quand il a retourné à la Midrasha il a aperçu qu'Uri portait sa châle de prière et ses Téfiline, et qu'il était totalement occupé en discutant, auprès du fourneau. Pinchas le regardait avec les yeux étonnés.
"T'es très impertinant, Uri ! Te risque d'être expulsé de la Midrasha," a dit Pinchas tout devant sa femme étonnée.
Ca a attiré l'attention d'Uri -- le ton du voix était très familier -- c'était clair qu'il était extrèmement faché contre lui et voudrait qu'il soit expulsé de la Madrasha. Uri avait fallu à payer ses dîmes, et il s'est dressé, terrifié. Et ça a duré pour trois jours, jusqu'au jour du Sabbat.
Le nuit du Sabbat, l'huissier et l'examinateur ont rencontré le Rabbi Isaac à la Midrasha. Ils ont discuté tous les faits connus entre eux. Le Rabbi Isaac était très arrogant en ses opinions dan la Midrasha, et ça se discute fréquemment en la Midrasha le Sabbat, qu'est-ce qu'ils vont faire pour la financement de la mère du médecin célèbre. Il s'est dressé et s'est tourné vers le mur pour dire le "Appel à Dieu" du livre de prière; il avait besoin d'aide d'aller à la table parce qu'il était un peu aveugle, et il a heurté sa main contre la prière 18, pendant que le cantor "chantait" avec entousiasme.
Rabbi Isaac s'est assis près de l'armoire, et le cantor a commencé les prières -- tout comme normal.
Rabbi Isaac a donné la bénédiction aux adorateurs, l'examinateur et le cantor au milieu de tous les voisins du Rabbi Isaac, tous donnant leur respect au Dieu et tous regardant l'huissier, pour qu'il paie ses dîmes demain.
"Comment donc? Vous tricheriez l'examinateur ?" a demandé Rabbi Isaac, en châtiant Uri.
Pour Rabbi Isaac cet incident avait l'effet de ridiculisé Pinchas; l'embarrass du Pinchas de côté, sa femme avait été humiliée; sa défaite était chose de rire pour Uri.
"Il a connu bien ce qu'irait arriver ce soir," en regardant l'embarrass du Pinchas, avec rire à l'intérieur de cette situation. "Alors, maintenant, les choses sont tout fini pour Uri. Ses yeux soient baissés, il a revenu sur terre."
"Ce sont de enjeux importants," a rapidement annoncé Uri à Rabbi Isaac, en arrangant les livres de prières, avec grand souci du doreur à feuille d'or.
Pinchas a retourné à la Midrasha, marchant le chemin au seuil, a tourné à sa femme, pendant qu'il restait, son coeur plein d'angoisse, pas de tout la vraie route:
"Écoutes! Le Rabbi Isaac rit!"
traduit de l'Hébreu par Jerome Rayond Kraus 2007
Eliyahu Mednek (1881-1904)
traduit de l'Hébreu par Jerome Rayond Kraus 2007
Uri, le huissier, un petit homme et avec les yeux boueux, en récitant le Midrash, a perdu son équilibre quand il allumit la chandelle en la minora du plafond en quittant la table. Il a approché en hâte les douze jeunes gens, tous vêtus en robes de Midrash, et, totalement épuisé, se sentant lourd et fatigué, il a indiqué le chandelle, disant,
"Le chandelle du Rabbi Isaac s'éteint par l'eau du pot."
Le huissier a pris le chandelle facilement, et bien averti du mal qui ait la femme de le Rabbi Isaac, il a entrepris d'allumer la lampe de la Mincha, sur la table. Et c'était bien evident à Pinchas, l'examinatuer, en priant , que l'aspect du Rabbi était faible et jaunétre en sa concentration, et comme il a passé devant le dos du Rabbi en allant vers l'est, au secteur de prière, il a demandé au huissier,
"Que fait-il ?"
"Rabbi Isaac prépare le cire," le huissier lui a répondu comme il préparait le quorum pour les prières pour le diner.
"Rabbi Isaac prépare le cire ?" a demandé après, l'examinateur étonné, "Ne soit pas Rabbi Isaac allé pour la lampe d'huile ?" il a demandé en secouant la tête au jeune homme.
"C'est son décision," a dit le jeune homme, montrant un peu d'embarras en son front.
Pour le moment, l'examinateur n'avait rien a dire, et il se tut.
En attendant, il a approché le petit groupe d'adorateurs.
"Quoi ? Comment peut le cire être mouillé par le pot ?" a demandé l'examinateur au jeune homme.
"Comment va ta tante ?" a demandé un autre.
"Elle travaille comme agent pour le docteur Mak," a répondu le jeune homme.
"Quand arrive-t-elle ?"
"Demain, à midi," a répondu le jeune homme, ne faisant pas attention au rumeur que c'était sa mère
qui a demandé au docteur Mak de donner le billet à sa tante.
Pinchas avait eu bien assez des réponses du huissier.
"C'est Rabbi Isaac qui, toujours, prépare le chandelle, mais c'est toi qui fait les prières, toujours, en sa place."
"Mais que voulez-vous," a répondu l'huissier, "c'est nécessaire pour que Dieu nous entende, qu'on allume la chandelle."
"Tous qu'il dit est sottise totale!" a réprouvé Pinchas, qui lui connaissait assez bien.
Le huissier a signalé sa soumission en hauchant les épaules au examinateur, en plein foule,"C'est seulement à Dieu de juger le monde." en citant le Talmud pour châtier le coeur méchant de l'examinateur.
Le huissier a parti de la Midrasha, le jeune homme s'était bien pressé aller chez sa mère avec toute la delegation. C'était sa mère qui était responsable pour la lampe et la cire pour le jour de Yom Kippur -- c'était bien connu que elle avait cette responsabilité pour Yom Kippur -- et elle avait mesuré la mèche dans la Maison des Âmes le matin; selon Halacha, le loi Juif, se prosternant devant les tombes de ses parents, les relatives de la femme du Rabbi Isaac, tout fait pour s'enricher les familles; elle a envoyé la blanche chandelle à la Midrasha en un pot d'eau, afin que tous seraient fait selon la règle.
Uri parlait ave Rabbi Isaac sur la matière de la cire. Peu de temps auparavant il y avait été un petit bagarre entre deux des femme mariées, on a commenté qu'il faudrait payer pour le deuil de la mère du médicin célèbre, et que ce coutume bien établi était en danger. Le deuil était très coûteux, donc il y avaient les mots durs avec Rabbi Isaac, l'argent étant si important pour notre peuple, et, finalment, il y avait été décidé de ne pas soumettre à l'avis de la femme plus âgée, et de ne pas avoir les deux jours de deuil normalement stipulé. Uri parlait pour un temps en colère avec le riche Pinchas devant l'entrée de l'Hadar, toutes les jeunes filles les regardant avec les yeux tout ouverts.
"Soirée bénie," dit le huissier aux gens venus pour Hadar, et tenant la lampe en ses mains, ainsi, immédiatement il s'est prosterné.
Le Rabbi Isaac s'est dressé en la lumière tenebreuse, et il a demandé en colère,"Qu'est-il ?"
"Quel est l'avantage, avoir l'examinateur impliqué en l'affaire de la chandelle ?" a demandé le huissier, se dressant et ajoutant "serait meilleur qu'on l'excuse," en regardant timidement le Rabbi Isaac pour voir s'il a bien compris ce qu'il a dit.
"Que fait-il en l'affaire de la Lampe ?" il a grondé en colère, "Qu'est-ce que le lépreux diable à faire avec tout ça ?" il a juré au huissier.
Le huissier s'est rétréci en arrière et s'est retiré du Hadar, retournant à son siège à l'avant de la Midrasha. Maintenant, il n'avait pas aucune idée quoi faire en la matière de la chandelle, et c'est ce qu'agacait le huissier le plus, c'est que si la chandelle n'ait pas s'éteint, tout aurait allée très bien. Le huissier, pour qui fallait une réponse de Rabbi Isaac, regardait autour de la Midrasha, et a crié a un Mizrahi:
"Voyons donc, qu'est-ce que le Rabbi Isaac va faire ?"
"Rabbi Isaac," n'était pas l'intention du huissier, à donner une sorte de lecture, mais la possibilité scintillait dans son esprit d'une sorte de vengence humoristique, en ajoutant l'observation:"Rabbi Isaac dit que ce soir la cire de la chandelle va aider, par sa lumière, guérir les malades."
Il y a bien de gens qui écoutaient les mots du huissier, démontrant d'intérêt en ces dêtails du loi juif. Mais bien d'entre eux qui composaient ce groupe ont montrée grande étonnement, le regardant avec stupéfaction, en asseyant ensemble au mur à l'est du batiment, pas loin du armoire avec les reliques sacrées, tourant la tête ver le Rabbi Isaac pour clarification, seulement l'examinateur restant au sol pour faire sa tâche de boucher. Le Rabbi lui-meme était totalement occupé avec la tâche d'épouillage, et pour cette raison n'a prêté aucune attention. Pinchas était très excité, et a repliqué à la menace du loi juif, ouvrant la bouche, et finalement criant au huissier "Tous seraient fait selon vos désires," comme il regardait le Rabbi, et a crié fortement en la direction des adorateurs.
L'huissier s'est controlé, comme il allait vers le passage pour qu'il ait d'eau pour le cruche de Talmud. Uri prenait soins de ne pas attendre aux regardes durs et hostiles des hommes de la congregation.
Ayant fini ses prières, l'huissier prenait le cruche pour aller vers le diner du soir à la fin du jeûne, et tout le monde se tut soudainement, parce qu'ils étaient flatté de sa arrivé tôt, ceux qui s'étaient resté en la Midrasha, et ils parlaient de cette évenement un peu étrange. Comme il passait devant leurs têtes, il a écouté un voix qui disait:
"Donc, il est venu pour manger le diner ici, pour allumer la chandelle, le Rabbi Isaac la placé en la minora, il est un professeur ici."
Uri commencait à sentir un peu de peur face à cette grande responsabilité qu'ils en parlaient, peu qu'il a admis que c'était seulement une blague. Mais il a perdu sa langue en voyant le front de Pinchas. Il partait du bâtiment, tous en ne disant pas un mot au huissier.
Pinchas n'était pas en la Midrasha pour la leçon du soir, en effet il n'y avait pas pratiquement personne, la colère du Rabbi Isaac n'ayant pas diminué et, en dépit de son respect pour lui, il n'y avait pas été invité. Il y avait un peu de juifs en la Midrasha, tous se chauffant au près du fourneau, quelques personnes en deuil et quelques jeunes, et la lampe se brillait à sa place, faisant les ombres au près du fourneau. Quand, finalement, Pinchas s'est levé le dernier matin, il s'est plaigné au Rabbi Isaac d'arrogance du huissier, mais le Rabbi Isaac avait déjà allumé la lampe, et il était absorbé en lisant le Talmud.
Le dernier matin, à l'aube, il faisait chaud pour les travailleurs en la Midrasha, les adorateurs pour les prières de la matin, des gens allant au marché, en particulier au près du fourneau -- et Pinchas a retrouvé le Rabbi Isaac lisant le Talmud et faisant ses charges. Le Minora n'était pas encore allumé, la cire était grumeleux, la salle était encrassé du puanteur de fumée. Pinchas se regardait autour de lui ,et , immédiatement se retournait au Talmud.
Uri n'approchait pas la Midrasha et ses vieux grisâtres, craignant d'être trop remarquable. Quand il approachait l'entrée il a écouté une femme dire en riant:
"'tzpra taba'! Soit ça dans le Torah?"
"'tzpra taba' !" a repliqué Pinchas, tournant sa tête pour la regarder, et disant:"Mais, vous en doutez ? Bien sur, c'est le cas."
L'huissier était bien d'accord avec cette opinion. Il faut qu'il restât à l'entrée en le soleil, maudisant l'impertinance du soleil.
Actuellement des gens devant Uri en le couloir riaient en leurs sieges en la Midrasaha, tous les bavardes et les pies. Ils vidaient et remplacaient les cruches, et après ils ont versé l'eau, ils arrangaient les livres sacrées en l'armoire. En fin, ils ont ouvré la Midrasha et ont commencé l'entrer, et il a regardé Pinchas, totalement absorbé en lisant le Torah. Uri était approchait avec difficulté le fourneau, et il s'asseyait là avec des gens, discutant les malades, et, en fin, le cantor s'asseyait là aussi, le regardant avec ridicule.
Les yeux du cantor en indiquait d'étonnement en écoutant l'huissier. Mais il ne riait pas à ce que Uri disait. Le cantor voulait rier, pour la vengence. Clairement, il n'y avait rien d'importance.
Comme ils écoutaient les mots d'huissier, l'excitation des auditers augmentait, et le front du cantor montrait son gros désire de rier, et aussi, l'attention du Pinchas était attiré à ces points du loi du Torah...
Soudainement, Pinchas ne le puisse tolérer encore, et il a crié:
"Uri!"
Uri était terrifié de l'attaque soudain de l'ancien, il a baissé ses yeux avec soumission au sol.
"C'est le cas que la femme du Rabbi Isaac soit malade ?" a demandé l'examinateur premièrement, avec d'importance.
"Oui, elle est malade." a répondu l'huissier, son voix tout bas.
"Dit à Rabbi Isaac que j'espère qu'elle va mieux," en un ton de commande, " et, aussi, que je vais le visiter à sa maison."
Uri a levé ses yeux à la place de l'examinateur.
"Que faites vous ici ?" a dit Pinchas avec étonnement, le regardant avec soupçon.
Battu, l'huissier a baissé sa tête, a tourné le dos vers Pinchas et a commencé à se retirer avec les pas lourds. Le petit groupe près du fourneau commencé a partir de la Midrasha en riant.
Les gens asseyant autour du fourneau regardaient Pinchas, et, mal à l'aise, ils avaient eu assez. Il s'est senti désolé pour l'huissier, mais avait eu assez de son comportement étrange de la soirée précédente.
Pinchas était déjà habillé dans son châle de prière bien seul, près à compter les adorateurs pour le quorum exigé -- l'huissier n'a pas encore retourné. On parlait de ce fait étrange. L'assemblé a prié pour "le bonheur", et ils ont vu que l'huissier n'était pas dans le couloir, mais qu'il avait parti en hâte; et Pinchas était bien content que l'huissier soit fait paraitre ridicule aux yeux des adorateurs pour ses idées bizarres , tout en améliorant sa propre position. Mais il se sentait un peu mal à l'aise.
Que fait-il? Il semble tout embarrassé.
Les prières finis, Pinchas avait été pressé pour partir de la Midrasha, et il était en colère. Il a flâné de nouveau à sa maison. Sa femme était en tête, et elle était tout intéressé en la femme du Rabbi Isaac. Hier soir il a garanti, que sa femme démontrait de grande piété le jour du Sabbat; sa garanti soit, que toute la boucherie pour le Sabbat, selon le loi Rabbinique et la Kabbala, doit être payer par la femme ! Quand il a retourné à la Midrasha il a aperçu qu'Uri portait sa châle de prière et ses Téfiline, et qu'il était totalement occupé en discutant, auprès du fourneau. Pinchas le regardait avec les yeux étonnés.
"T'es très impertinant, Uri ! Te risque d'être expulsé de la Midrasha," a dit Pinchas tout devant sa femme étonnée.
Ca a attiré l'attention d'Uri -- le ton du voix était très familier -- c'était clair qu'il était extrèmement faché contre lui et voudrait qu'il soit expulsé de la Madrasha. Uri avait fallu à payer ses dîmes, et il s'est dressé, terrifié. Et ça a duré pour trois jours, jusqu'au jour du Sabbat.
Le nuit du Sabbat, l'huissier et l'examinateur ont rencontré le Rabbi Isaac à la Midrasha. Ils ont discuté tous les faits connus entre eux. Le Rabbi Isaac était très arrogant en ses opinions dan la Midrasha, et ça se discute fréquemment en la Midrasha le Sabbat, qu'est-ce qu'ils vont faire pour la financement de la mère du médecin célèbre. Il s'est dressé et s'est tourné vers le mur pour dire le "Appel à Dieu" du livre de prière; il avait besoin d'aide d'aller à la table parce qu'il était un peu aveugle, et il a heurté sa main contre la prière 18, pendant que le cantor "chantait" avec entousiasme.
Rabbi Isaac s'est assis près de l'armoire, et le cantor a commencé les prières -- tout comme normal.
Rabbi Isaac a donné la bénédiction aux adorateurs, l'examinateur et le cantor au milieu de tous les voisins du Rabbi Isaac, tous donnant leur respect au Dieu et tous regardant l'huissier, pour qu'il paie ses dîmes demain.
"Comment donc? Vous tricheriez l'examinateur ?" a demandé Rabbi Isaac, en châtiant Uri.
Pour Rabbi Isaac cet incident avait l'effet de ridiculisé Pinchas; l'embarrass du Pinchas de côté, sa femme avait été humiliée; sa défaite était chose de rire pour Uri.
"Il a connu bien ce qu'irait arriver ce soir," en regardant l'embarrass du Pinchas, avec rire à l'intérieur de cette situation. "Alors, maintenant, les choses sont tout fini pour Uri. Ses yeux soient baissés, il a revenu sur terre."
"Ce sont de enjeux importants," a rapidement annoncé Uri à Rabbi Isaac, en arrangant les livres de prières, avec grand souci du doreur à feuille d'or.
Pinchas a retourné à la Midrasha, marchant le chemin au seuil, a tourné à sa femme, pendant qu'il restait, son coeur plein d'angoisse, pas de tout la vraie route:
"Écoutes! Le Rabbi Isaac rit!"
traduit de l'Hébreu par Jerome Rayond Kraus 2007
1 Comments:
hello
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shalom
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