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THE POET AS SCIENTIST

THE POET AS SCIENTIST, THE POET AS SCIENTIST

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The Geek's Raven
[An excerpt, with thanks to Marcus Bales]

Once upon a midnight dreary,
fingers cramped and vision bleary,
System manuals piled high and wasted paper on the floor,
Longing for the warmth of bedsheets,
Still I sat there, doing spreadsheets:
Having reached the bottom line,
I took a floppy from the drawer.
Typing with a steady hand, I then invoked the SAVE command
But got instead a reprimand: it read "Abort, Retry, Ignore".

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Form input - by Günter Born

Wednesday, January 21, 2009

Trois Naissances

Liao Zhai

Le Docteur Liu rappelle ces événements, d'un de ses ancêtres. Son frère aîné les reconta: c'est l'affaire d'un fonctionnaire corrompu. Il avait 62 ans.

Au debout, on le voit en attendant voir le Roi Ming pour boire du thé. C'est l'honneur normal pour l'officiel local. Le Roi Ming regarde à l'intérieur de la tasse le couleur clair du thé.

"Puisse voir en les dépôts à l'intérieur de la tasse en liquide flou, comme les doutes ténébreux d'une potion magique, de les eaux d'Oubli ?"

Levant la tasse de thé du Roi Ming, le regardant, la vidant brusquement, totalement corrompu. Subitement effondrer, sa nature mauvaise, Liu soit indigné, traîné à l'échafaud par la foule de fantômes. Toute la famille de fantômes, trainant à la porte plus haute, ne peuvent pas aller là, le battant terriblement. Alors, se rencontre son corps sur un table, en l'écurie. Un Ange dit:

"Le Cheval Noir, le Dragon Noir, met au monde un poulain."

Liu l'entendit très bien, mais ne peut rien dire. Contre sa propre volonté, ayant grand faim, il approche la jument, cherchant du lait. Quatre ou cinq ans après, il est devenu grand et fort. Mais, il avait grand peur de la cravache, et s'enfuit du Maître. Bien sûr, le Maître le freine avec la bride, avec grands soins, lentement, mais ça cause grande douleur; les palefreniers l'attaquent de tous les côtés, saisant ses chevilles, elle douleur parvenant à son coeur, atteignant ses tripes. Alors, pour rancune, il ne mange rien pour trois jours, et il est mort.

Un homme profond, le Roi Ming est venu pour trouver le moyen pour punir son chien errant, c'est son devoir l'écorcher, le fustiger. Mais ça arrache le coeur, ce comportement dégoutant.

La foule de fantômes le fouettant furieusement, grand peine, comme fuyant. Aurait être trop facil de le jeter du haut d'un falaise, tout simplement. Alors, la chienne baissa la tête pour lécher ses jambes, connaissant se naître encore en le monde. L'odeur du sang et de la merde, ne l'aime pas ses oreilles tranchées; toute l'année, se cachant, coupablement, cherchant la mort. Le Maître ne veut pas tuer ses serviteurs. Mais, le chien vole l'alimentation du Maître. Alors, il le tue avec son bâton.

Alors, le Roi Ming questionne l'inculpé indigné, fou, cassant ses os, en le fouettant avec des centaines de bâtons de bambous, le transformant en serpent. En l'Enfer, on ne voit pas le Ciel. Et alors, le serpent, totalement battu, peut voir comment apparaître les fêlures dans les murs; soudainement fuyant la prison, son corps dans l'herbe luxuriante. Immédiatement, afin de ne mourir, il mange des noix.

Le temps passe, il envisage se suicider, mais il ne peut pas mourir encore. Il ne même pas veut mourir, il ne cherche pas la mort. Mais un jour, glissant dans l'herbe, il entend un carrosse l'approchant rapidement. Les chevaux grand galopant, le serpent écrasé, rompu en deux.

Le Roi Ming, effrayé par la violence, est résolu de rétablir la raison lui-même. Le Roi Ming ne comprend pas. Il semble que le fonctionnaire Liu est la cause de tous ces crimes. Une annonce publique est lu à voix haute:

"Un Docteur de soixante ans. Tout le monde doit monter à cheval pour freiner et contrôler, pour punir ce malfaiteur !"

La famille de l'Histoire dit: "Les Princes ont peu d'amis, et, en vérité, tous ne sont pas vraiement les amis. Un grand arbre peut faire grand mal aux fleurs: les nobles, en cultivant leurs propres racines peuvent tuer les fleurs; et, pour longtemps, en cultivant la terre. Nous ne permettons, ni tolérons encore le boulversement de l'ordre social -- (en descendant de son cheval, sons des fers à cheval, comme il attacha le cheval au poteau) -- pour un noble comme ceci. C'est assez ! Un sale type comme ceci, faut le jeter avec les rats et les serpents dans une fosse commune."


Traduit par Jerome Raymond Kraus (2009)
© Copyright Jerome Raymond Kraus (2009)

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