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THE POET AS SCIENTIST

THE POET AS SCIENTIST, THE POET AS SCIENTIST

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The Geek's Raven
[An excerpt, with thanks to Marcus Bales]

Once upon a midnight dreary,
fingers cramped and vision bleary,
System manuals piled high and wasted paper on the floor,
Longing for the warmth of bedsheets,
Still I sat there, doing spreadsheets:
Having reached the bottom line,
I took a floppy from the drawer.
Typing with a steady hand, I then invoked the SAVE command
But got instead a reprimand: it read "Abort, Retry, Ignore".

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Form input - by Günter Born

Monday, November 06, 2006

Buddha, Nietszche et le Holocaust Juif

Et le Buddha vint. Et il vit toutes les souffrances de l'humanité. Il vit les bornes et les aveugles mendiant en les rues sans moyens. Il vit les riches en leur peur et les pauvres en leur misère. Il vit comme les lâches ne pouvaient controller leurs désirs et comme les fiers ne pouvaient controller leur colère. Il vit les maladies de toutes sortes qui néantissaient l'humanité elle-même. Il vit le bon comme une chose exceptionelle, une chose rare et peu commune.

Et le Buddha vit les grands savants et les grand prêtres, comme ils étaient, en grande partie, les hypocrites, les imbéciles, et les fous. Il vit, comme ils faisaient leurs prières en leurs grands temples, comme ils faisaient leurs recherches en leurs grands établissements. Et il vit comme ces hommes de science ne s'accomplissaient rien, ou à peu près.

Et le Buddha dit, 'Faut pas croire en les hommes. Faut pas croire en les Dieus. Faut pas croire en la réalité. Faut pas croire en soi-même.'

'Faut croire en la néantissement de soi-même. Faut croire en la néantissement de vos désirs, vos besoins, et votre douleur. Et faut croire en ça comme une société, comme une communauté.'

Wikipedia, Buddhisme

“ Les trois caractéristiques de l'existence [modifier]
« Tout phénomène conditionné est insatisfaisant, tout phénomène conditionné est éphémère et toute chose est sans soi. »



Le non-soi ( skt. Anātman pal. anatta), ou interdépendance ou encore impersonnalité : de l'atome à l'univers - en passant par les êtres humains et leurs états d'esprit - il n'y a rien qui ait une existence indépendante et réelle par lui même.
L'impermanence (skt. anitya pal. anicca) : tout est constamment changeant, tout est flux, rien n'est figé une fois pour toutes.
L'insatisfaction (skt. et pal. dukkha), ou souffrance : ce n'est pas que la souffrance physique ; du fait de l'impermanence des choses, rien ne peut nous satisfaire de manière ultime et définitive.

Les trois racines du mal, ou « trois poisons » [modifier]
Les trois poisons de l'esprit peuvent être dénommés ainsi :

Avidité,
Colère,
Ignorance ou Indifférence (selon la traduction).
Les voiles de l'esprit comportent par exemple :

Ignorance, illusion (avidyâ) au sujet des trois caractéristiques de l'existence ;
Désir, avidité, convoitise, attachement (trishnâ) ;
Haine, aversion. “




C'est une approche, bien sûr. Pas mal de tout. Ça fonctionne assez bien pour minimiser les problèmes de la vie. Mais, peut-être, ça ne maximalise pas les choses de bonne. Ce que Nietzsche voulut faire, c'était de créer une sorte de mélange entre le joie de vivre des Grecs anciens et la capacité des Buddhistes de voir au-delà de la réalité actuelle des choses. Son "Zarathustra" était une sorte de combinaison d'Odysseus et de Buddha. La sombre réalité des Juifs, en particulière, lui déplaisait. Ces gens étaient attachés à la réalité, mais en sens négative, comme quelque chose à critiquer.

Nietzsche
La Généalogie de la morale : Première dissertation

« Bien et mal », « bon et mauvais ».

"Tout ce qui sur terre a été entrepris contre les « nobles », les « puissants », les « maîtres », le « pouvoir », n’entre pas en ligne de compte, si on le compare à ce que les Juifs ont fait : les Juifs, ce peuple sacerdotal qui a fini par ne pouvoir trouver satisfaction contre ses ennemis et ses dominateurs que par une radicale transmutation de toutes les valeurs, c’est-à-dire par un acte de vindicte essentiellement spirituel. Seul un peuple de prêtres pouvait agir ainsi, ce peuple qui vengeait d’une façon sacerdotale sa haine rentrée. Ce sont des Juifs, qui, avec une formidable logique, ont osé le renversement de l’aristocratique équation des valeurs (bon, noble, puissant, beau, heureux, aimé de Dieu.) Ils ont maintenu ce renversement avec l’acharnement d’une haine sans borne (la haine de l’impuissance) et ils ont affirmé : « Les misérables seuls sont les bons ; les pauvres, les impuissants, les petits seuls sont les bons ; ceux qui souffrent, les nécessiteux, les malades, les difformes sont aussi les seuls pieux, les seuls bénis de Dieu ; c’est à eux seuls qu’appartiendra la béatitude — par contre, vous autres, vous qui êtes nobles et puissants, vous êtes de toute éternité les mauvais, les cruels, les avides, les insatiables, les impies, et, éternellement, vous demeurerez aussi les réprouvés, les maudits, les damnés ! »... On sait qui a recueilli l’héritage de cette dépréciation judaïque... Je rappelle, à propos de l’initiative monstrueuse et néfaste au-delà de toute expression que les Juifs ont prise par cette déclaration de guerre radicale entre toutes, la conclusion à laquelle je suis arrivé en un autre endroit (Par delà le bien et le mal, aph. 195). — Je veux dire que c’est avec les Juifs que commence le soulèvement des esclaves dans la morale : ce soulèvement qui traîne à sa suite une histoire longue de vingt siècles et que nous ne perdons aujourd’hui de vue que — parce qu’il a été victorieux..."



Ça, c'est une perspective intellectuelle, on peut être d'accord ou pas, c'est un peu antisémétique, mais pas trop. Ce que Adolf Hitler a fait avec ça, c'était pas une guerre seulement intellectuelle, mais une guerre réelle entre les états réels. Il a proposé l'existence d'un état juif composé des financiers, écrivains et scientifiques qui controllaient le monde. C'était ridicule. S'il y avaient les juifs avec l'influence dans le monde, c'était seulement parce qu'ils étaient utiles à les autres. Mais, en ce temps-là, avec les conceptions de Darwinisme Sociale et aprés la brutalisation de la première guerre mondiale, les Allemands voulurent une cible sur laquelle ils pouvaient donner libre cours a leurs frustrations. Les Juifs, qui, depuis le temps des Romains n'avaient pas possedé les armes, étaient la cible parfaite.


Adolf Hitler, Mein Kampf, Deuxieme Tome, chapitre 5

"L'Etat raciste, dont j'ai voulu donner un tableau d'ensemble, ne se trouve pas réalisé du seul fait que l'on connaît les conditions indispensables à son existence. Il ne suffit pas de savoir comment sera un Etat raciste ; il faut d'abord le créer. On ne peut pas s'attendre à ce que les partis actuels, qui avant tout tirent profit de l'Etat tel qu'il est, arrivent d'eux-mêmes à un changement radical et transforment spontanément leur attitude. D'autant que leurs dirigeants sont toujours des Juifs et encore des Juifs. L'évolution que nous sommes en train de subir, si elle n'était enrayée, nous mettrait un jour devant la prophétie panjuive :
« Le Juif dévorera effectivement les peuples de la terre et deviendra leur seigneur. » Ainsi, vis-à-vis de millions de « bourgeois » ou de « prolétaires p allemands, qui, pour la plupart, courent à leur perte par paresse et sottise, doublées de lâcheté, le Juif, pleinement conscient du but qu'il poursuit, ne rencontre aucune résistance sur sa route. Un parti dirigé par lui ne peut lutter pour rien d'autre que pour les intérêts juifs, et ces intérêts n'ont rien de commun avec les aspirations essentielles des peuples aryens. Veut-on donc transposer l'Etat raciste du domaine idéal dans la réalité, il faut tout d'abord chercher, en
dehors de toutes les puissances actuelles de la vie publique, une force neuve qui ait la volonté et les moyens de mener le combat pour un tel idéal. Car il s'agit bien ici d'un combat : notre première tâche n'est pas de créer une forme d'Etat raciste, mais de détruire l'Etat juif actuel."


......

"Car une doctrine n'est pas tolérante ; elle ne peut être « un parti parmi les autres » ; elle exige impérieusement la reconnaissance exclusive et totale de ses conceptions, qui doivent transformer toute la vie publique. Elle ne peut tolérer près d'elle aucun vestige de l'ancien régime. C'est la même chose pour les religions. Le christianisme non plus n'a pas pu se contenter d'élever ses propres autels, il lui fallait procéder à la destruction des autels païens. Seule, cette intolérance fanatique devait créer la foi apodictique ; elle en était une condition première absolue. On peut objecter, à juste titre, que ces deux précédents historiques sont spécifiquement juifs - et même que ce genre d'intolérance et de fanatisme sont foncièrement juifs. Ceci peut être mille fois vrai et on peut aussi le déplorer profondément ; on peut constater, avec une inquiétude qui n'est que trop justifiée, que
l'apparition de cette doctrine dans l'histoire de l'humanité y introduisait quelque chose que l'on ne connaissait pas encore ; mais cela ne sert de rien et il s'agit maintenant d'un état de fait. Les hommes qui veulent sortir notre peuple allemand de sa situation actuelle, n'ont pas à se casser la tête pour imaginer combien ce serait beau si telle ou telle chose n'existait pas ; ils doivent rechercher et déterminer comment on peut supprimer ce qui en fait est donné. Mais une doctrine pleine de la plus infernale intolérance ne sera brisée que par la doctrine qui lui opposera le même esprit, qui luttera avec la même âpre volonté et qui, par surcroît, portera en elle-même une pensée nouvelle pure et absolument conforme
à la vérité. Chacun peut aujourd'hui constater à regret que, dans le monde antique, beaucoup plus libre que le nôtre, le christianisme a introduit avec lui la première terreur spirituelle ; mais il ne peut rien au fait que, depuis cette époque, le monde vit sous le signe et sous la domination de cette contrainte. Et on ne brise la contrainte que par la contrainte, la terreur par la terreur. "


Evidemment, les Nazis étaient fous, dés le debut. Mais les Iraniens en les temps actuels, en nos jours, ne le sont pas. Les Iraniens sont démocratiques, leurs chefs réligieux sont élus. Ils ne sont pas les fascistes, mais tout simplement les impérialistes. Le danger des Iraniens pour l'état d'Israel soit le danger des Turcs pour les Chrétiens Arméniens. C'est un danger de genocide impérialistique, tout à fait rationnel.

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