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THE POET AS SCIENTIST

THE POET AS SCIENTIST, THE POET AS SCIENTIST

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The Geek's Raven
[An excerpt, with thanks to Marcus Bales]

Once upon a midnight dreary,
fingers cramped and vision bleary,
System manuals piled high and wasted paper on the floor,
Longing for the warmth of bedsheets,
Still I sat there, doing spreadsheets:
Having reached the bottom line,
I took a floppy from the drawer.
Typing with a steady hand, I then invoked the SAVE command
But got instead a reprimand: it read "Abort, Retry, Ignore".

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Form input - by Günter Born

Friday, May 30, 2008

http://www.stihi-rus.ru/1/ant/2.htm

Moment Étrange

Pavel Antokolsky

"Elle est morte en la pauvreté. Par la chance, son cercueil s'est rencontré avec le monument de Alexandre Pouchkine, qui avait été importé de Moscou."

D'une vieille encyclopédie



Longtemps elle ne dort pas, en sa maison de bois,
Une vielle dame, comme une ombre, le piano approchant,
Un moment étrange, une romance chantant,
Dificile, sauvage, a peine écoutant,
Dit pour l'honneur d'un moment étrange,
En la petite ville sourde, une dame mendiante,
Pas de mélancolie en sa pauvreté,
Heureuse en cherchant les pièces de monnaie.

Oui, c'était comme ça, Seigneur,
Une dame vieillarde, hors de mémoire,
Comprimée de neige, de la Lune le sentier,
Étuvée en la joie, elle est arrivée !
Comme baisers passionants en le nuit silencieux,
Son amour proclamant en baisant ses yeux,
Sa poitrine s'endormant, chère Anna Petrovna,
Tous oubliant, à bout de souffle.
Le temps s'est venu, alors.
Bavardages reculent, universelle gloire,
Les yeux baissés
Face à paisible decédée.
Un parfum delicieux partout,
En proclamant la foule:
"Reste en paix ton âme !"
Finis, les plaisirs mondaines.
Rien écoutant, sans vie tombant,
Quelle belle image, la noble Anna.

Écoutez, le service funèbre, le requiem.
À Tversky des patins le grincement.
Filant après le cercueil, dodelinant en le champs,
Dix relations et membres de famille seulement --
Pas des gens célèbres, nobles, importants,
Juste l'enterrer en la cimitière s'efforcant.
Chevaux de neige couverts, en allant,
Renforcant rancuniers la gélée crépitante.

Mais la procession c'était mis de côté.
Se précipitant au droit les chevaux,
Parceque, à Moscou, c'est du peuple la volonté,
Il est du retour, un Voyageur Particulier.
Les sabots des chevaux chauds la terre battant,
Le son des clochettes quelque chose rappelant.
Le soleil de janvier, son rougâtre disque,
Écartant ses rayons au quelque chose toujours proche.

Voilà, déversé de bronze, une merveille résonnante,
Chapeau enlevé, autour le jour gelé regardant,
Voilà l'imperméable, Il est en civile habillé,
Il reste debout, audacieux et bouclé.
Mais c'est terriblement grandi -- mésuré, estimé,
Combien pèse ça environ ? Immortel quantité.
Terriblement jeune et terriblement calme,
Regarderez, nos petits-fils, Il est encore en vie !

Ainsi, la dernière fois ils se rencontrent,
Rappelant rien et de rien ils ne plaignent.
Une tempête de neige comme une ombre absurde,
Son abri ici, pour ce moment étrange.
Tendrement, sinistrement
Une tempête de neige les a mariés,
Vieillarde poussiereuse, morte et raidie,
Et immortel bronze, Il est toujours en vie.
Deux amants passionants, toujours brilliants,
Ainsi tôt séparant, tard ils se rencontrent.



Traduit par Jerome Raymond Kraus (2008)
© Copyright Jerome Raymond Kraus (2008)

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