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THE POET AS SCIENTIST

THE POET AS SCIENTIST, THE POET AS SCIENTIST

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The Geek's Raven
[An excerpt, with thanks to Marcus Bales]

Once upon a midnight dreary,
fingers cramped and vision bleary,
System manuals piled high and wasted paper on the floor,
Longing for the warmth of bedsheets,
Still I sat there, doing spreadsheets:
Having reached the bottom line,
I took a floppy from the drawer.
Typing with a steady hand, I then invoked the SAVE command
But got instead a reprimand: it read "Abort, Retry, Ignore".

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Form input - by Günter Born

Monday, September 12, 2005

Espejo/Mascara


El gran caudillo me ha visto
Sobre el terreno sombro
Donde esta dia, grande batalla
Passa sus horas sangrienta
“Alguna cosa de tu rostro
Dame alguna idea
Que en tus perceptivos rasgos
Era grande poeta.”

“Con mucho gusto,” yo lo saludo
“Mi jefe todopoderoso
Yo no sé, ni porque
Dasme titulo tan honoroso.
Pero verdad esta que yo poseo
Las reglas de la poesia
Estoy estudiante de versos toda ma vida.”

“Acaso, amigo, yo te aseguro
Un muy gran y bueno trabajo”
Me dicho el caudillo, echando su yelmo
Hacia atras con movimiento rapido,
Me fingando la vista relucando clarissima
En oro y dulce amarillo,
“Las batallas conozco en toda historia
Estan pocas por esta razon:
Necessita poetas escriber detalles
Para durar mas qu’una sazon
Yo me conozco como gran caudillo
Como Jefe, Principe y Rey
Poesia m’ayudara
Oir alabanza
Despues terminando mi viaje.”

“Muchas gracias, mi Rey, pur tu confianza
Estoy abrumado por esta tarea
Pero mientras tanto, ha pasado un año
Todos seran perfectamente cumplido.”

Y despues un año
Como yo he dicho
Mi tarea estaba cumplido
Y vamos ver
Como ser
La batalla como vista para la poeta:

“Ni Achilles en sus armas de plata
Ni Hercules con su grande fuerza
Puedan dar concurrencia
A el gran poder de nuestro caudillo.
Hombre valiente con brazo de hierro
No es possible en mundo entero
Ver su igual ni aun comparer
Con ninguan persona en terreno o mar.
Todos soldados lo encontrando
Estan en seguido matando
Como el fuego de Jehovah
O el martillo de Thor
Todos derotado para voluntad del Senor!” …

“Muy buen, amigo!”
Me dicho el caudillo
“Esta mucho como lo he visto antes
Los hechos de los caballeros valientes
Me gustan mucho todas las historias
Veniendo do los tiempos pasados.
Toma, aqui, como recompenso
Esto espejo como regalo
Porque parece appropriado
Viendo la Gloria reflejada
En tu bellissima poema!”

“Pero, bueno amigo, yo deseo una otra
Poema distinta de esta oferta
Como cosa real de la vuestra mente
No cosa robando de tiempo ante
Entonces, por favor, da otro año
Para darme un nuevo cuento.”

Y asi, por mi, mucho trabajo
Lo año entero tentando alcanzar
De realidad, verdadamente, el terreno
Y si, algunas veces, para hazar
Yo lo he alcanzado
Siguidendo tener el pavor
De nada cumplir en todo el año!

“Esfuerzado parar sobre la collina
Voces y clamor rodeando como torbellina
Cansado, casi muerto de luchando siguiendo
Como es possible sobreviver en tal desierto?
Mi brazos, mi piernos heridos y sangriente
Todos fundan en partes de la espantosa ambiente
Pero yo se mi papel en todo el horror
Tiene que ser mi pais Salvador!” …

“Mucho mejor, amigo, dulce como el miel
No obstante el dolor en mi medula!”
Me dicho el feliz Rey.
“Un mascara en oro
sera tu regalo
Por tan perfecto ensayo
Pero otra vez, yo quiero ensayarte
Devinir l’essencia de l’Arte!”

Y un año despues
Yo lo vi otra vez
Pocas palabras
He dicho en sus orejas
Un luz en su ojo
Me dicho q’era loco!
Me pone su cuchilla
Entre mi costillas!

He visto la Medusa, y oido la Sirena
No es possible por ser humana
Siguiendo viviendo como otra gente
Para ganar los cielos
Tiene perder tu mente!

© Copyright Jerome Raymond Kraus 2005



Le Grand Charles


Si les policiers
N’étaient pas bêtes
Ils ne seraient pas policiers!
Ma passion est la liberté
Comme miroir de réalité.
Quel drôle de type, le policier!
Il veut à toujours controller
Non seulement les criminels
Pour ca il n'est pas essentiel
D'avoir une grande machinerie
Qui use toute sorte de connerie
Avant de voir la neccesité
Pour toute personne de vivre sa vie!
C'est pas si compliqué, je crois
N'importe peut voir ce que je dis
Chacun doit prendre sa propre voie
C'est ca le but de toute la vie
Il n'y a aucune necessité
D'avoir trop de regles de jeu
Veux pas qu'on doit me foutre le camp
Je ne suis pas de cette estampe
Bien sur, je sais, je ne suis pas Sainte
Mais, s'il vous plait, ne me crampes.

Si les Nazis
N’étaient pas bêtes
Ils ne seraient pas Nazis!
Je crois qu’ils sont plutot des fous
Ceux-ci ils comprennent rien de tout
Totalitaires sans autre but
Sauf éliminer nos point de vue,
Bien sur, ils haissent tous les juifs
Juifs ont idée instinctif
De vérité, ils connaissent l’histoire,
Et comme moi-meme, quand les forces noirs
Entreprendre a faire le coup
Nous allons rester coude à coude!
Mais mon pauvre vieux capitaine,
C’était bon homme, Général Pétaine,
Je n’ai pas pour lui aucune haine,
Pour qu’il est mort dix-neuf-cents-vingt!
Certainement, ce n’est pas lui,
Qui traite avec les fous Nazis,
C’est un vieux homme qui lui ressemble
Mon Général n’voudrait se branle
Avec ces canailles-ci!

Si les Américains
N’étaient pas bêtes
Ils ne seraient Américains!
De voler tous ce qu’ils peuvent voir
C’est pour ceux-ci sacré devoir
Sauf en le cas de proches amis
Tous ce qu’est à vous est la leurs ainsi
C’est ca la Rève Américain
Voler les biens de ton voisin!
Si Roosevelt ait son désir
C’est tout fini la France Empire
Ni aucune force industrialisée
Va rester pour mon pauvre pays
Les Britanniques au moins entendent
Que si la France ne reste ensemble
Dieu sait, je ne suis pas Staliniste
Mais bientôt, serons Communistes!

Si l’Algérie-Francaise
N’était pas bête
Elle ne serait l’Algérie-Francaise!
Si elle aime tant à faire la guerre
Je crois que c’est pas mon affaire
Et si elle veut arranger la vie
De tous les gens en Algérie
La France n’est pas en impliquée!
Moi-même je suis un viel soldat
Et n’est pas si facile que ca
De rompre tout mon viel sang-froid
Les attentats, ca ne m’effroit
C’est ca un bien bon fin pour moi
Mais pas possible faire excuses
Placer en danger mon épouse!

De toute la bêtise de ce monde
Je crois que j’en ai bien assez
Et quoi? Il faut démissioner.



© Copyright Jerome Raymond Kraus 2005

St-Jeanne

I

Comme c'est belle,
Les cloches de mon pays maternel
Comme les sons d'un chanson éternel
Qui ne quitte jamais ma cervelle.

Comme les sons ont devenus pour ma foi
La règle, le jeu et la loi
Qui surpassent tout espoir de la joie
Même de la Sainte Vierge soi.

Et le bruit de ces sons étendus
Sous les nuages, le sol et les cieux
M'enivre des idées et images
Quit me fait comme les gens les plus sages.

Puis les sons devenus comme les mots
Ils me semblent une sorte de boulot
Qui me forcent de tordre le cou
De tous ceux qui agissent contre Dieu.

II

Comme c’est belle,
Les échanges de politesse dans un cour royale,
Comme ca semble presque iréelle,
Tous ces beaux personages comme astres étincellent.

Approche les, en leurs grands états
Ca semble bien trop grand un pas
Pour moi, une toute petite vierge, ca m’effroit
Comment dire un mot, a mon souverain, mon Roi?

Mais les Voix me disent que c’est mon tache
Il faut le accomplir ou je sois une lâche
Tout le pouvoir de Dieu maintenant me place
Devant ce cour, devant ce face.

“Les Anglais sont devenus nos ennémis”
“Dieu ne se plaise de voir la France soumis”
“Sous les mains souillés de mechancétés”
“Il faut battre et vaincre nos ennémis”

“Le Grand Dieu me aide en ce destin”
“Comment autre que je puisse parler sans crains”
“Devant le face de mon tout puissant souverain?”
“Allons!Venons voir notre destin!”

III

Comme c’est belle,
Sons de bataille et Voix s’emmêlent
Les soldats dansent une étrange rondelle
Tous arrangés à la même échelle.

Fleches sifflants parmi cries en air
Ils déchirent comme épées en sang et chair
Mais comment, quel douleur quand ca pique mon cou!
Comment est possible je puisse rester debout?

Mais les Voix ca me disent si je puisse conquerir
Le douleur en mon cou, les Anglais vont fuir
Plus terrible de le voir, même de le sentir
Pour qu’en les combattant je ne puisse pas mourir!

IV

Comme c’est belle,
Comme les flames m’encérclent
Comme une toute petite tourelle
Et ils haussent autour mes jambes
Dans une danse éphemérelle
Et ils font de mon corps
Comme une grosse chandelle!

Mais les hypocrites Anglais
Ni tous leurs alliés
Ils ne peuvent pas me tuer.

V

Comme c’est belle
Les cloches de la ville étérnelle
Tous les sons chansonnent en ma cervelle
Les lumières, ca vibrent et chancelent.

Et ca forme en une chanson de joie
Pour les anges en leurs vêtments de soie
Tous parlant la langue de les cieux
Louangant et invoquant Dieu.

Et mes copains partagant mes pensées
Mohammed et juif Moisé
Comment améliorer la vie
Pour les hommes qui sur terre ont restés.

Et sur ce point nous sommes tout d’accord
Le courage, l’intégrité d’abord
Personne ne doit oublier son voeu
De vivre et mourir pour Dieu!




© Copyright Jerome Raymond Kraus 2005

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