Peur et Pouvoir – Les Communards
Le peur est comme un grand moteur
Infini en longeur
Qui agite notre histoire
Et pendant l’ampleur
Les fantomes des morts
Créent les petites ondes
En la grande mar
Du temps qui nous entoure.
Et quelle est la fierté
Si non le peur de la perte
Du pouvoir.
C’est pourquoi les plus fiers
En toutes leurs affaires
Toujours risquent devenir les maniaques
Pour les fiers sont les meilleurs paranoiaques!
Et qui sont les plus fiers?
Les grands qui tiennent du pouvoir
Bien sûr.
Ils ont toujours peur
De perdre le tour.
C’est pourquoi on peut voir
En notre histoire
La tragedie des Communards
Pas communistes
Pas même socialistes
Seulement les progressistes
Mais ca méprisent
L’armée et l’église.
Et en tentant les idées nouvelles
On ne doit pas oublier Machiavel:
”Tous les prophètes armés ont triomphés
Et tous ceux sans armes sont péris.”
Les Communards ont armes assez
Mais comment doit on les utiliser?
Des le début, on peut écraser Versailles
Les soldats, l’église, sans réprésailles
Mais qu’est ce qu’on va faire apres
Sans aucune gouvernement au pays?
Ce sont les gens civilisés
Ils ne veulent pas, donc, l’anarchie.
Mais pour le gouvernement, c’est tant pis
On ne veut pas le compromis ici:
“Si les gens du Paris ne veulent pas la guerre
Ca c’est entierement leur affaire
Nous nous souvenons quatre-vingt-neuf
Nous nous craignons c’est pour notre sang ils ont soif!
Si nous pouvons écraser toute la ville
Ca va rendre les gens plus civiles!”
Ce qu’ils ont fait
En effet.
Mais quoi autre faire?
Comment traiter la politique comme les affaires
Sans réprésailles sur les mutinaires?
Les Prusses et les Parisiens
Ils ne s’entendent pas tres bien
Mais n’ont ils pas les intérets communs?
Controller Paris
Améliorer la vie
Pour que la situation
Va faire possible l’idemnification
Et va être meilleur pour les citoyens.
Après un an de Prusse occupation
Les autorités francaises voudraient conciliation
Non seulement avec les Allemands
Mais avec les Communards citoyens.
Faut avoir flexibilité
En choissisant nos alliés
Aucun bût politique
Ne s’acheve sans les triques.
© Copyright Jerome Raymond Kraus 2005
Le peur est comme un grand moteur
Infini en longeur
Qui agite notre histoire
Et pendant l’ampleur
Les fantomes des morts
Créent les petites ondes
En la grande mar
Du temps qui nous entoure.
Et quelle est la fierté
Si non le peur de la perte
Du pouvoir.
C’est pourquoi les plus fiers
En toutes leurs affaires
Toujours risquent devenir les maniaques
Pour les fiers sont les meilleurs paranoiaques!
Et qui sont les plus fiers?
Les grands qui tiennent du pouvoir
Bien sûr.
Ils ont toujours peur
De perdre le tour.
C’est pourquoi on peut voir
En notre histoire
La tragedie des Communards
Pas communistes
Pas même socialistes
Seulement les progressistes
Mais ca méprisent
L’armée et l’église.
Et en tentant les idées nouvelles
On ne doit pas oublier Machiavel:
”Tous les prophètes armés ont triomphés
Et tous ceux sans armes sont péris.”
Les Communards ont armes assez
Mais comment doit on les utiliser?
Des le début, on peut écraser Versailles
Les soldats, l’église, sans réprésailles
Mais qu’est ce qu’on va faire apres
Sans aucune gouvernement au pays?
Ce sont les gens civilisés
Ils ne veulent pas, donc, l’anarchie.
Mais pour le gouvernement, c’est tant pis
On ne veut pas le compromis ici:
“Si les gens du Paris ne veulent pas la guerre
Ca c’est entierement leur affaire
Nous nous souvenons quatre-vingt-neuf
Nous nous craignons c’est pour notre sang ils ont soif!
Si nous pouvons écraser toute la ville
Ca va rendre les gens plus civiles!”
Ce qu’ils ont fait
En effet.
Mais quoi autre faire?
Comment traiter la politique comme les affaires
Sans réprésailles sur les mutinaires?
Les Prusses et les Parisiens
Ils ne s’entendent pas tres bien
Mais n’ont ils pas les intérets communs?
Controller Paris
Améliorer la vie
Pour que la situation
Va faire possible l’idemnification
Et va être meilleur pour les citoyens.
Après un an de Prusse occupation
Les autorités francaises voudraient conciliation
Non seulement avec les Allemands
Mais avec les Communards citoyens.
Faut avoir flexibilité
En choissisant nos alliés
Aucun bût politique
Ne s’acheve sans les triques.
© Copyright Jerome Raymond Kraus 2005
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