Le Temps des Cérises
“Faut pas gaspiller les obus,
Mon Géneral
Les Allemands approchent”
“Je le sais, Charles
Venons faire nos devoir
Pour la France”
Une foule enorme
Des soldats et citoyens
Illuminés par foudroyants éclats
En toutes les environs
Et les cris partout
Ponctués par les obus
Soudainement cessant d’être
Quand on regarde par le fenêtre…
“Et ca marche,
Charles?”
“Oui, mon Maréchal:
Ca va marcher tres bien.
Les Allemands ne vont
Pas passer par la.
Jamais par la.”
“Une vraie ligne d’acier, ca?”
“Exactement, comme ca.”
Et les plans sur le bureau
Font un étrange tableau
Avec les hommes habillés grisatres
En une salle ornée de baroque en platre
Comme pour un jour de fête.
“Charles, je me souviens
Comment les Allemands
Sont passés justement ici
Par le Champs-Elysée”
Et soudainement, on voit ceci…
Deux lignes exquis
De chevaliers
Passant en ordre parfait
Les Parisiens distraits
Comme un cauchemar
Mais sans réveiller.
“Pourquoi ca, Papa”
“C’est la faute de l’Empereur, Phillipe
Faut pas avoir les Empereurs,
Encore.”
Mais les Prusses, sur autre bord
Ne sont pas tout d’accord
Ils aiment bien les Empereurs
Meme sous le nom de Fuhrer…
Et c’est sous le Tour Eiffel
On peut voir le Grand Hitler
Maitre de tout l’Europe
Et il veut voir le Maréchal Phillipe.
“J’ai le plus grand respect pour vous,
Mon Maréchal.
T’as vaincu
Mon Maréchal
Hindenberg!
Mais ça ne serve
Pour rien
Pour le moment!
Ce qu’est important
Est que vous donnez l’assurance
Que la France
Ne va etre agacante.
Et si non,”
D’un ton menacant
“La seule solution
Est l’annihilation!”
Et le Maréchal
A serré le main
De le tyran.
“Mais ou est Charles?
Il ne rien craint”
Dit le nouveau Souverain
De la France.
© Copyright Jerome Raymond Kraus 2005
“Faut pas gaspiller les obus,
Mon Géneral
Les Allemands approchent”
“Je le sais, Charles
Venons faire nos devoir
Pour la France”
Une foule enorme
Des soldats et citoyens
Illuminés par foudroyants éclats
En toutes les environs
Et les cris partout
Ponctués par les obus
Soudainement cessant d’être
Quand on regarde par le fenêtre…
“Et ca marche,
Charles?”
“Oui, mon Maréchal:
Ca va marcher tres bien.
Les Allemands ne vont
Pas passer par la.
Jamais par la.”
“Une vraie ligne d’acier, ca?”
“Exactement, comme ca.”
Et les plans sur le bureau
Font un étrange tableau
Avec les hommes habillés grisatres
En une salle ornée de baroque en platre
Comme pour un jour de fête.
“Charles, je me souviens
Comment les Allemands
Sont passés justement ici
Par le Champs-Elysée”
Et soudainement, on voit ceci…
Deux lignes exquis
De chevaliers
Passant en ordre parfait
Les Parisiens distraits
Comme un cauchemar
Mais sans réveiller.
“Pourquoi ca, Papa”
“C’est la faute de l’Empereur, Phillipe
Faut pas avoir les Empereurs,
Encore.”
Mais les Prusses, sur autre bord
Ne sont pas tout d’accord
Ils aiment bien les Empereurs
Meme sous le nom de Fuhrer…
Et c’est sous le Tour Eiffel
On peut voir le Grand Hitler
Maitre de tout l’Europe
Et il veut voir le Maréchal Phillipe.
“J’ai le plus grand respect pour vous,
Mon Maréchal.
T’as vaincu
Mon Maréchal
Hindenberg!
Mais ça ne serve
Pour rien
Pour le moment!
Ce qu’est important
Est que vous donnez l’assurance
Que la France
Ne va etre agacante.
Et si non,”
D’un ton menacant
“La seule solution
Est l’annihilation!”
Et le Maréchal
A serré le main
De le tyran.
“Mais ou est Charles?
Il ne rien craint”
Dit le nouveau Souverain
De la France.
© Copyright Jerome Raymond Kraus 2005
0 Comments:
Post a Comment
<< Home